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vendredi 8 septembre 2017

Goscinnyscope





"Goscinnyscope", mon nouveau livre, est sorti depuis le 6 septembre chez Dunod.

Astérix, le Petit Nicolas, Lucky Luke, Iznogoud... L'œuvre de René Goscinny est connue de tous mais son volet cinématographique et télévisuel, d’une grande richesse, a souvent été survolé. Lui qui a débuté comme gagman non crédité au générique a terminé producteur de ses films, à la tête – avec Albert Uderzo – d’un important studio d’animation européen. Au cours de cette période riche en collaborations, des succès à l’épreuve du temps comme Astérix et CléopâtreLe Viager ou La Ballade des Dalton ont permis à des milliers de fans de retrouver au cinéma le style de Goscinny. "Goscinnyscope" revient sur le parcours méconnu de la carrière cinématographique du maître de la BD et dévoile l’étendue de son héritage, après sa soudaine disparition.

Préface de Patrice Leconte
192 pages
16.90 euros

vendredi 9 octobre 2015

Quand les super-héros se la jouent 007... (2)


Oui, même Hulk se l'est jouée James Bond dans une histoire de 2011, L'espion qui m'a massacrée...




samedi 4 avril 2015

jeudi 19 mars 2015

007 vs. Batman


Dans le prégénérique de Goldfinger (1964), James Bond avance dans l'eau inaperçu grâce à une fausse mouette posée sur son masque de plongée.



Or, cette idée était déjà venue à l'homme-chauve-souris 16 ans auparavant dans "Les Origines de Batman" (Batman n°47, juin 1948).



mardi 18 mars 2014

Le vrai visage de James Bond

Voilà à quoi ressemble James Bond, en vrai !


En effet, Ian Fleming le met dans la bouche de Vesper Lynd dans Casino Royale (1953), son premier roman : "Il est très séduisant. il me rappelle un peu Hoagy Carmichael." Mais qui est-il ? Un chanteur-compositeur-acteur américain (1899-1981), à qui l'on doit notamment la chanson "Georgia on my mind" (interprétée notamment par Ray Charles).




En 1992, le dessinateur Mike Grell l'avait utilisé comme modèle pour Bond dans le comic book Permission To Die...


lundi 29 octobre 2012

SAS vs. 007

Non, il ne s'agit pas de comparer le héros de Gérard de Villiers avec celui de Ian Fleming, mais d'établir les liens qui existent entre 007 et le Special Air Service, les commandos britanniques (l'équivalent du GIGN).

Dans Skyfall (2012), Gareth Mallory (Ralph Fiennes) est un ancien lieutenant-colonel du SAS en Irlande, qui a passé trois mois aux mains de l'IRA.

Créé pendant la dernière guerre, le SAS est une unité mythique en Grande-Bretagne, depuis son intervention à l'intérieur de l'ambassade d'Iran en 1980, filmée par les caméras de la BBC et de ITV. L'idée que Bond ait pu en faire partie est récurrente dans de nombreuses histoires.



Dans le roman de John Gardner, Scorpius (1988), James Bond suit un entraînement avec le SAS pour se remettre à niveau (à la manière de Jamais plus jamais) :

"James Bond n'arrivait pas à se rappeler la dernière fois qu'il s'était senti à ce point épuisé. Chaque muscle était douloureux. (...) Durant les dix derniers jours, il avait pris part à un exercice de survie et à une course d'endurance avec le "Régiment" - comme les familiers du Special Air Service l'appelaient toujours - se déroulant sur la base du Régiment 22 SAS : la caserne de Bradbury Lines à Hereford. M l'avait surnommé: "un chouette petit parcours rafraîchissant.""


L'année suivante, la BD Permission to die de Mike Grell reprend cette idée. L'histoire s'ouvre par une prise d'otages à l'intérieur d'un manoir anglais. La police a appelé le SAS qui ne pourra arriver à temps, avant que les "méchants" ne commencent à exécuter leurs otages. Mais Scotland Yard a noté que sur la liste des invités se trouve un homme qui s'entraîne chaque année avec le SAS... Lorsque le commando défonce les fenêtres du bâtiment, Bond a déjà tout "nettoyé"...

Dans la scène du train de Casino Royale (2006), Vesper Lynd considère elle aussi que Bond a pu faire partie d'une telle unité : 

"Le MI6 recrute des hommes mal dans leur peau qui ne voient pas d'objections à sacrifier les autres afin de protéger le pays et la Reine. Vous savez, comme des ex des services spéciaux (en vo: former SAS types), au sourire facile et aux montres hors de prix."

Enfin, il faut rappeler que dans le prégénérique de Tuer n'est pas jouer (1987), le SAS a pour ordre d'empêcher les agents double-zéro de s'emparer des installations radar de Gibraltar...



samedi 6 octobre 2012

Bond en Hollande

Après une première caricature de Daniel Craig dans Le Monde en 2008 (voir ici), le dessinateur Plantu a récidivé cette semaine...



Merci à Thibaut Chatel

lundi 12 septembre 2011

Bob Morane contre Dr No

Pour représenter Bob Morane sur une couverture du magazine Pilote en 1969, le modèle utilisé ne nous est pas inconnu...



jeudi 13 janvier 2011

007 vs. Jean Van Hamme (4)

Le scénariste de BD Jean Van Hamme a plus d'une fois fait référence à James Bond (lire ici), et il a récemment récidivé dans le tome 2 du dernier Blake & Mortimer, La Malédiction des trente deniers. En effet, le capitaine Blake fait intervenir une section bien particulière des services secrets britanniques pour attaquer un yacht au large d'une île grecque...



lundi 6 décembre 2010

007 vs. Star Wars (1)

Les deux univers n'ont a priori rien à voir, pourtant il est possible de les relier l'un à l'autre. Déjà, James Bond lui-même connaît Star Wars... Eh oui, dans la BD "Permission to die" de Mike Grell (éditée par Eclipse Comics en 1989), il y fait référence lors de son entrevue avec "M"...


Dans Demain ne meurt jamais (1997), Eliott Carver s'amuse à parodier le titre de l'Episode 5 (L'empire contre-attaque) pour la une de l'un de ses journaux...


lundi 3 mai 2010

Portrait-robot

On le sait, Rien que pour vos yeux (1981) s'inspire de plusieurs éléments de Fleming, les nouvelles Top Secret et Risico, ainsi qu'un passage de Vivre et laisser mourir (lire ici). Mais on trouve également un emprunt à Goldfinger : l'Identigraph, qui permet à Bond dans le film d'identifier Emile Leopold Locque, est une transposition de l'Identicast.


"L'appareil s'appelait L'Identicast et fonctionnait suivant le procédé de la lanterne magique. Différentes formes de têtes étaient projetées, jusqu'à ce qu'une d'entre elles fût retenue. On passait ensuite aux cheveux, puis au nez, aux yeux, à la bouche, pour finalement arriver au portrait-robot de l'individu. Il fallut un moment pour trouver tous les éléments du visage assez extraordinaires de Goldfinger. Mais le résultat final rappelait d'assez près le personnage." (Chapitre 5)

jeudi 29 avril 2010

Rions un peu avec "Playboy"

Pour la sortie de GoldenEye (1995), l'édition allemande de "Playboy" a sorti un numéro spécial Bond. On y trouvait (entre autres choses...) ces dessins humoristiques de Steffen Köpf...


"Dans le mille, Moneypenny !"


"Wouah, James!... Je ne savais pas que tu
avais aussi un doigt d'or... !"

mardi 15 décembre 2009

Bons Baisers d'Astérix

En 1981, deux ans avant Jamais plus jamais, Sean Connery reprenait son rôle d'agent secret... Enfin, pas tout à fait. Le dessinateur Uderzo décidait de le caricaturer dans L'Odyssée d'Astérix (deuxième album du petit Gaulois écrit seul après la mort de Goscinny) sous les traits d'un espion de Jules César, Zérozérosix... Son char est rempli de "gadgets" dont un éjecteur de fumée noire pour semer ses poursuivants ! Le clin d'oeil à Goldfinger (1964) est savoureux. Autre référence: le parchemin contenant les instructions de son chef (qui a le visage du barbouze Bernard Blier) s'autodétruit à la fin de la lecture...


mardi 1 décembre 2009

Duck, Daffy Duck...



Chuck Jones, le créateur de Bugs Bunny et de Daffy Duck, a son avis sur l'agent 007:

"James Bond est l'un des plus grands ratés au monde, et de tous les temps, pour dire le moins. En dépit de tous les avantages que lui offre la technologie moderne, il s'arrange toujours pour marcher sur un rateau, tout comme nous. Sauf que, dans son cas, il va tomber dans une marre pleine de piranhas, tandis que nous, nous allons marcher dans une bouse de vache.

Heureusement pour 007, ses ennemis sont tout aussi empotés que lui. En une occasion, ils essaient de lui gâcher le sommeil à l'aide d'une araignée venimeuse. Une tâche assez simple, me direz-vous: il suffisait d'introduire une veuve noire par la serrure. Mais non, ces vilains oiseaux du KGB utilisent une tarentule bien musclée, de la taille d'un chat. Une sorte de Arnold Schwarzenegger plein de poils. Et, en s'avançant pesamment sur le lit de James Bond, ce Gargantua le réveille. Résultat ? Un petit combat de catch mano-a-mano que la tarentule aurait aisément pu gagner, si ce n'est qu'elle glisse sur cinq de ses pattes libres.

James Bond et Daffy Duck. La seule différence, c'est que Daffy Duck échoue, tandis que, finalement, Bond réussira, en dépit de 2 heures de revers illogiques et parfaits."
(in "Chuck Jones", Dreamland)

lundi 30 novembre 2009

Une couverture rien que pour nos yeux

En 1981, Marvel publie une adaptation en comic book de Rien que pour vos yeux de piètre mémoire.


La BD sera traduite en français par Dynamisme Presse Edition (qui la couplera avec les textes de l'Annual anglais consacré au film). L'attraît de cette édition est sa couverture, version soignée et améliorée de l'originale.


vendredi 20 novembre 2009

L'oeil (d'or ?) de Di Marco

En 1995, "Le Monde" a demandé au prolifique dessinateur Angelo Di Marco (connu notamment pour ses couvertures de la revue "Détective") d'illustrer la critique de GoldenEye. Observez le visage "épanoui" de Xenia...


mercredi 11 novembre 2009

Ça plane pour lui !

Dans Vivre et laisser mourir (1973), James Bond s'introduit sur l'île du Dr Kananga à l'aide d'un delta-plane tiré depuis un bateau.




Cette idée était déjà présente dans le comic strip Double Jeopardy écrit par Jim Lawrence et dessiné par Yaroslav Horak, publié dans le Daily Express en 1971, soit deux ans avant le film.



dimanche 8 novembre 2009

Un nouveau C.O.B.R.A.S.


Le blog Illustrated 007, spécialisé dans les réprésentations dessinées de James Bond, vient de rejoindre le groupe des C.O.B.R.A.S. (Coalition Of Bloggers wRiting About SPies). Bienvenue !

vendredi 6 novembre 2009

La guerre des papys

En 1983, la "Guerre des Bond" fait rage... enfin, dans la tête des journalistes, car les fans, eux, sont ravis de voir la même année Jamais plus jamais et Octopussy ! Le magazine "Métal Hurlant" s'amuse de cet événement médiatique en mettant en avant l'âge de MM. Connery et Moore...


jeudi 5 novembre 2009

007 vs. Jean Van Hamme (3)

Dans le 14ème album de XIII, "Secret Défense", le scénariste revendique un emprunt ironique à la série. "J'ai glissé une scène typiquement dans le style "James Bond", en précisant expressément cette référence dans le scénario. XIII, qui allait se faire descendre discrètement par les hommes de la NSA, est enlevé en hélicoptère par de faux agents du FBI. Il est assommé et se réveille dans une cabine de bateau où une sorte de maître d'hôtel lui apporte "des cachets d'aspirine pour le mal de tête de Monsieur" et lui enjoint de revêtir un smoking préparé à sa mesure dans une armoire. Il ajoute "Le dîner sera prêt dans trois quarts d'heure. Soyez à l'heure, Madame n'aime pas attendre." J'avais envie de faire ce truc typiquement "James Bond". Je reconnais que ce n'est pas dans la note habituelle de XIII." (in "A propos de XIII", Nautilus éditions) Cette scène est visiblement empruntée à Octopussy (1983), quand Bond se réveille chez Kamal Khan.



A noter que Caterina Murino (Solange dans Casino Royale) joue dans la mini-série XIII.