jeudi 29 avril 2010

Rions un peu avec "Playboy"

Pour la sortie de GoldenEye (1995), l'édition allemande de "Playboy" a sorti un numéro spécial Bond. On y trouvait (entre autres choses...) ces dessins humoristiques de Steffen Köpf...


"Dans le mille, Moneypenny !"


"Wouah, James!... Je ne savais pas que tu
avais aussi un doigt d'or... !"

mercredi 28 avril 2010

Dalton au Carlton

En mai 1987, en plein festival de Cannes, Timothy Dalton apparaît sur la façade du Carlton.


L'année suivante, MGM-UA annonce le titre du prochain Bond... License Revoked ! C'est en effet ainsi que s'est d'abord appelé le film (lire ici), avant d'être remplacé par License to kill (Permis de tuer).


En 1990, Timothy Dalton est toujours officiellement l'interprète du rôle et un film est en préproduction. Son titre ? Il n'en a alors pas encore, juste le "17ème James Bond", et n'en aura d'ailleurs jamais...



mardi 27 avril 2010

Lazenby : la fureur de cogner

En 1968, George Lazenby, qui n'a aucune expérience d'acteur, passe plusieurs bouts d'essais aux studios Pinewood dont une scène de bagarre avec le cascadeur (ex-catcheur) Yuri Borienko. Emporté par son élan, l'Australien cassera le nez de son partenaire... La preuve en images.














En dédommagement sans doute, Yuri Borienko obtiendra le rôle de l'homme de main de Blofeld dans Au service secret de sa majesté.

lundi 26 avril 2010

Dalton se presse...

Après avoir "tué" le général Pushkin lors de Grande Convention Commerciale d'Afrique du nord à Tanger, dans Tuer n'est pas jouer (1987), Bond s'enfuit par les toits. Une scène désormais célèbre, où il échappait à la police sur un "tapis volant", a été coupée au montage (on la trouve sur le DVD). Mais une autre scène a été écartée, comme le prouve cette photo publiée dans le magazine allemand "Cinema" à l'époque. On y comprend comment 007 pénétrait dans la place : en se faisant passer pour un journaliste ; il présentait sa carte de presse et le soldat trouvait son nom sur une liste...


lundi 19 avril 2010

Vacances...

Le blog "Quantum of Bond" s'arrête quelques jours, histoire de se reposer... et de trouver de nouvelles idées !!! à très bientôt.

vendredi 16 avril 2010

"Tout est dans le poignet..."

Sur les tournages des Bond, Roger Moore et Albert Broccoli faisaient des parties de backgammon. Les sommes en jeu étaient très importantes mais le perdant ne payait jamais, il se contentait d'annuler sa dette en gagnant la partie suivante... On les voit ici sur le tournage de Rien que pour vos yeux (1981). Elle n'est pas magnifique, cette photo ?

mercredi 14 avril 2010

Il gèle à Pinewood

Dans Tuer n'est pas jouer (1987), James Bond et Kara Milovy échappent à la police tchèque en Aston Martin. On se souvient de la poursuite sur le lac gelé. La scène n'a pas été tournée, on s'en doute, en Tchécoslovaquie, mais en Autriche.

En revanche, le simple plan de la voiture de la police s'enfonçant dans l'eau glacée a été filmé sur le "water tank" des studios Pinewood.


lundi 12 avril 2010

Tarzan vs 007

Quels rapports entre l'homme-singe et l'agent secret 007 ? Certes, on trouve un Sean Connery tout jeunot dans La Plus Grande Aventure de Tarzan en 1959 et Christophe Lambert, après Greystoke, s'est vu proposer le rôle de Bond (si, si !), mais les vrais liens sont ailleurs... Dans Octopussy (1983), Bond fait l'objet d'une chasse à l'homme. Brusquement, alors que plus personne ne sait où il se cache, il se met à faire le cri de Tarzan (version Johnny Weissmuller) et se balade de liane en liane... Pas le meilleur moment du film, ni de la série.

Dans le film suivant, Dangereusement Vôtre (1985), John Glen s'est visiblement souvenu de Tarzan à New York de Richard Thorpe (1941)...




Tarzan échappe à la police sur le Brooklyn Bridge, tandis que 007 pourchasse Max Zorin sur le Golden Gate de San Francisco...





vendredi 9 avril 2010

Les caméos de Michael G. Wilson (3)

Dans Meurs un autre jour (2002), Michael G. Wilson est un général au QG des forces militaires américaines en Corée du Sud...




Dans Casino Royale (2006), il est le chef de la police (corrompu) du Montenegro qui se fait arrêter par ses propres hommes grâce à l'intervention de Mathis...


... et dans Quantum of Solace (2008), il lit tranquillement son journal dans le hall de l'hôtel Dessalines à Haïti.


jeudi 8 avril 2010

Les caméos de Michael G. Wilson (2)

Dans GoldeneEye (1995), Michael G. Wilson fait partie du gouvernement soviétique (ou quelque chose dans le genre ;-)....



... Il est Tom Wallace, le vice-président de Carver Medias, dans Demain ne meurt jamais (1997)...



... et un employé du casino "L'Or noir" de Valentin Zukovsky dans Le monde ne suffit pas (1999).





à suivre...

mercredi 7 avril 2010

Les caméos de Michael G. Wilson (1)

Le producteur Michael G. Wilson (beau-fils de Albert Broccoli et demi-frère de Barbara Broccoli) aime apparaître dans les films de Bond. On peut dire que c'est aujourd'hui un jeu avec les fans (le grand public, lui, passe à côté). Sa première apparition remonterait à Goldfinger (1964), alors qu'il ne travaille pas encore avec son beau-père. Mais il est difficile de l'identifier parmi (apparemment) les gardes de Fort Knox ou les hommes du gros Auric. On référence en général un cameo dans L'espion qui m'aimait (1977) : lors du spectacle "son et lumière" aux Pyramides, il se trouverait derrière Anya Amasova et Fekkesh. Personnellement, ce barbu ne me paraît pas être Michael G. Wilson. Je préfère commencer par Moonraker (1979) où notre homme fait partie du QG américain...




Dans Rien que pour vos yeux (1981), il est un pope à Saint-Cyril qui célèbre un mariage.



Dans Octopussy (1983), il fait partie des touristes sur le bateau qui sauvent Bond, poursuivi par Kamal Khan.



Dans Tuer n'est pas jouer (1987), il est un des spectateurs de l'opéra de Vienne, à deux places de Saunders.


à suivre

mardi 6 avril 2010

"Boys with toys..."


Je suis passé à côté de ce livre de Nicolas Fleurier, paru en 2006, et je viens de mettre la main dessus. Un projet de fan comme je les aime: référencer et évoquer les figurines (ou "action figures" ou "poupées mannequin articulées") de James Bond (et d'Indiana Jones, également) depuis 1965... Un sacré boulot de recherche et une mine pour les collectionneurs. Pour les simples fans de Bond, cela reste un joli livre.



Certaines figurines sont photographiées sur des lieux bien précis : Bond en plongeur devant le chateau d'Anet (Opération Tonnerre), Requin devant le château de Drax, c'est à dire de Vaux-le-Vicomte (Moonraker), ou encore Bond en cosmonaute à Venise (Moonraker à nouveau).



L'éditeur "Histoire & collections" le vend actuellement à moitié prix (7.75 euros), donc n'hésitez pas. A commander ici.

vendredi 2 avril 2010

"Asseyez-vous donc, Mr Bond..."

Une photo d'exploitation allemande des Diamants sont éternels (1971) nous fait découvrir un plan différent de la scène où Bond se retrouve face à Blofeld au sommet du building de Willard Whyte.


Dans le film, 007 est simplement debout et tourne le dos à la caméra. Sans doute la photo a-t-elle été prise pendant une répétition.

jeudi 1 avril 2010

Boire ou conduire...

Au Japon, comme en Angleterre, on roule à gauche et le volant est à droite. Ce qui ne dépayse pas 007 quand il arrive à Tokyo dans On ne vit que deux fois (1967). Aki l'emmène chez Henderson dans sa superbe Toyota 2000 blanche.

Mais en arrivant à destination, il semble que Bond, peut-être peu rassuré par la conduite de la jeune femme, ait pris le volant.


Mais est-ce si simple ? Et surtout, est-ce vraiment une erreur ? Quand Bond et Aki entrent chez Henderson, on remarque que la voiture est garée dans l'autre sens, par rapport au plan précédent. Cela fait beaucoup d'approximations dans une même scène....

A y mieux regarder, on remarque que le plan de l'arrivée de la Toyota est en réalité inversé ! Car c'est bien Aki qui conduit la voiture. Que s'est-il passé dans la salle de montage ? Mystère...