Dans Les diamants sont éternels (1971), l'un des complices de Blofeld à Las Vegas est Bert Saxby. Mais en réalité, son vrai nom est Albert R. Saxby...
mercredi 11 mars 2015
Le bonjour d'Albert
Dans Les diamants sont éternels (1971), l'un des complices de Blofeld à Las Vegas est Bert Saxby. Mais en réalité, son vrai nom est Albert R. Saxby...
dimanche 15 janvier 2012
En place pour la photo !


Et de quand date cette photo ? Pas avant le 14 juillet 1961, à en croire le numéro du magazine "Life" posé sur le bureau...
jeudi 24 mars 2011
Lenny Rabin, cet inconnu...
mercredi 16 mars 2011
Wagner, Robert Wagner...
mardi 15 mars 2011
The Kings of Kings
mardi 14 septembre 2010
"Go ahead, make my day, tell me to play Bond..."
Trouver un remplaçant à Sean Connery pour Vivre et laisser mourrir n’est pas une mince affaire. Broccoli et Saltzman pensent fortement à Roger Moore mais hésitent encore. Les pontes de United Artists, quant à eux, veulent une star américaine et contactent (sans en parler
aux producteurs)... Clint Eastwood, tout juste sorti de L'Inspecteur Harry.

« Il leur a ri au nez » raconte Broccoli dans ses mémoires, « en leur disant : ‘Je ne peux pas jouer le rôle. D’une part, je ne suis pas anglais et, d’autre part, je ne peux pas passer après Sean Connery. Quelque soit la somme d’argent que vous m’offrez, je ne jouerai pas Bond.’ » Il a eu bien raison, le père Clint. D'autant qu'il a pu tater de l'espionnage tout seul, dans La Sanction puis Firefox.
mardi 31 août 2010
Taylor, Rod Taylor


Chose amusante, Rod Taylor a joué en 1965 dans un "anti-James Bond", Le Liquidateur, d'après John Gardner (qui reprendra les romans de 007 dans les 80s). Il y donnait la réplique à Jill St John (Les diamants sont éternels)...
mardi 6 juillet 2010
007 vs. The Beatles (1)

Fin 1962, alors que Bons Baisers de Russie n’est encore qu’un projet, Harry Saltzman et Albert Broccoli cherchent à produire un autre film ensemble. Le premier veut faire Appelez-moi chef (Call Me Bwana, lire ici) avec la star comique Bob Hope, tandis que le second écoute son ami journaliste Donald Zec lui parler d’un groupe de Liverpool : « Ecoute, ce n’est peut-être pas ton rayon, mais quelque chose de fou est en train de se passer dans le monde de la pop, et je vois là une mine d’or encore inexploitée. Je viens d’écrire un article sur un groupe appelé les Beatles. Ce sont quatre espèces de loufoques avec des cheveux longs et un accent de Liverpool. Je t’en parle parce qu’apparemment, nous avons vendu plus d’exemplaires que pour le couronnement de
- Les Beatles, dont personne n'a jamais entendu parler, alros que l'on a Bob Hope - BOB HOPE ! - prêt à tourner ?"
Broccoli se range à l’opinion de Saltzman et un an et demi plus tard, les deux hommes assistent au triomphe de Quatre Garçons dans le vent (A Hard Day’s Night) de Richard Lester, distribué par United Artists, tandis que Appelez-moi chef termine péniblement sa course…
vendredi 16 avril 2010
"Tout est dans le poignet..."
vendredi 15 janvier 2010
"Call Me Bwana" à la Cinémathèque
Le générique est déjà tout un programme : montage de Peter Hunt, scénario de Johanna Harwood, décors de Syd Cain, musique de Monty Norman, effets spéciaux de John Stears, assistant-réalisateur Clive Reed... Et le film est tourné aux studios de Pinewood (en utilisant le bâtiment principal, notamment l'entrée que l'on verra dans Octopussy, lire ici). On est donc en pays de connaissance ! Et ce ne sont pas les seuls éléments bondiens du film...
Une autre scène fait une référence directe à Dr No lorsque les espions russes placent une tarentule dans la tente de Merriwether... Les plans de la bestiole montant sur son bras nu sont filmés de la même façon mais Bob Hope coupe court au suspense en la balayant l'araignée du revers de la main. Puis, réalisant qu'il est passé tout près de la mort, il se met à tirer des coups de fusil partout...
Au final, Call Me Bwana est une comédie poussive sans intérêt (hormis les liens avec 007), une locomotive pour le comique américain Bob Hope, alors très populaire. Ce qui est très étonnant, quand on sait que les deux producteurs viennent de révolutionner le cinéma d'aventures pour toujours, un an auparavant...
vendredi 4 décembre 2009
Harry Palmer vs. 007 (1)

à suivre...
jeudi 26 novembre 2009
Sherlock Holmes vs. 007 (3)
lundi 2 novembre 2009
Collins, Lewis Collins...

Une fois le film terminé (voir mon article sur le tournage), Barbara Broccoli pense que Collins pourrait faire un très bon James Bond et en parle à son père. À l’époque, le producteur fait passer des auditions à de jeunes acteurs, afin de dissuader Roger Moore d’augmenter ses cachets… « Je suis resté dans son bureau cinq minutes, raconte Collins en 1982 au Daily Star, mais cela a été fini pour moi en quelques secondes. J’ai entendu dire depuis qu’il ne m’aimait pas. C’est injuste. Il attend qu’un nouveau Connery passe sa porte et il y en a d’ailleurs quelques uns. Mais je pense qu’il a refermé la porte sur moi. Il m’a trouvé trop agressif. (…) Alors que mon attitude n’était que l’autoprotection. » Euan Lloyd ajoute que Collins s’était présenté au rendez-vous en tenue décontractée (à
jeudi 29 janvier 2009
L'oreille de Cubby

-Cubby, répondit Sean, je serai ravi de te pisser dans l'oreille quand tu voudras.