Universal Exports est depuis Dr No (1962) la couverture du MI-6. Une simple pancarte à l'entrée du bureau de M dans un immeuble du quartier du Parlement suffit à masquer les véritables activités qui s'y pratiquent. Lorsque le chef des services secrets prend ses quartiers dans le bâtiment officiel de Vauxhall (comme dans la réalité), dans GoldenEye (1995), cette façade n'a plus lieu d'être mais Universal Exports reste la société dont se revendique Bond dans ses déplacements, notamment dans Le monde ne suffit pas (1999) et Quantum of Solace (2008). Petit historique :
James Bond contre Dr No (1962)
Les bureaux de Universal Exports se trouvent au cinquième étage et un panneau flêché en indique la direction.
Première porte sur la droite en venant de l'ascenseur.
Au service secret de sa majesté (1969)
Les reflets sur la plaque de la société montrent que le bâtiment se trouve à deux pas du Parlement. (on peut aussi apercevoir le réalisateur Peter Hunt)
Rien que pour vos yeux (1981)
Dans le prégénérique, un hélicoptère de Universal Exports vient chercher Bond au cimetière où il se recueille sur la tombe de sa femme.
Tuer n'est pas jouer (1987)
Les bureaux de la société-écran se trouvent désormais sur Trafalguar Square.
Le monde ne suffit pas (1999)
Bond s'embarque à bord d'un avion à destination du Kazakhstan. Juste avant l'atterissage, il découpe la photo de sa carte Universal Exports pour la placer sur celle de Davidov.
Casino Royale (2006)
Dans le bureau de Dryden, le traître du MI-6 que Bond élimine à Prague, on peut apercevoir un dossier de Universal Exports caché à moitié par un pistolet.
Dans Quantum of Solace (2008), Bond présente une carte de visite de Universal Exports (à l'un des hommes de Greene, à Haïti), avec comme pseudo R. Sterling (soit Robert Sterling, le nom qu'utilise Bond pour approcher Stromberg dans L'espion qui m'aimait). [pas encore de capture d'écran]
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