A la fin du roman On ne vit que deux fois, James Bond est porté disparu et "M" signe sa nécrologie dans le "Times". Ian Fleming s'amuse à mettre en abyme sa propre oeuvre: "L'inévitable publicité qui a été faite autour de ses aventures, et plus particulièrement dans la presse étrangère, en a fait, bien contre sa volonté, une sorte de vedette. Il y eut également l'inévitable série de romans dans lesquels un ami personnel de James Bond et un de ses anciens collègues a décrit ses aventures. C'est probablement le dédain avec lequel le Ministère considère ces romans qui a fait qu'aucune mesure n'a encore été prise contre l'auteur de ces romans populaires voulant retracer la carrière d'un remarquable serviteur de son pays."
L'adaptation en comic strips du "Daily Express" publiée en 1965 va encore plus loin en reproduisant les couvertures des romans de Fleming édités par Pan Books et illustrées avec des photos des films.
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